Un petit rectificatif concernant le poème précédent:
Le pasteur qui l'a rédigé a été interné en camp de concentration pendant des années justement parce qu'il "disait" quelque chose, il ne s'est pas tu contrairement à ce qu'on pourrait penser.
follow me!
Un petit rectificatif concernant le poème précédent:
J'avais un tas de réglements de comptes à faire, et puis comme c'est demain la nuit sacrée, j'ai décidé de pardonner à tous ceux qui m'ont fait du mal..(snif! je suis une incomprise..)
Snobisme:
Je n'ai rien dit...
Gallois n'avaitt pas le temps, le Fainéant non plus, mais quelle est donc cette etrange malédiction qui s'abat sur les algébristes géomètres?
Comme ils me rattrapent vite parfois, mes petits souvenirs tristes, toutes ces fois ou j'ai été injuste avec les autres, toutes ces méchancetés gratuites que j'ai lancé comme ça, au hasard, sans mesurer leurs effets, je n'y pense presque jamais en fait, mais parfois ma conscience me fait des tours, m'oblige à regarder en arrière, il est trop tard pour se faire pardonner bien sur, et je ne retiendrai aucune leçon pour l'avenir, alors pourquoi ces tortures inutiles?
Le père Noel existe:
Attention compteur méchant!
En tant qu'africane je suis horrifiée par ce qui se passe au Nigéria, on avait pas besoin de ça, franchement..( C'est horrible, c'est injuste, rien à redire, on n'a aucune excuse, on n'a pas le droit de condamner à mort pour queques mots.. bon, ceci dit, en afrique, on est aussi quelques millions à etre condamnés à mort, pour moins que ça, alors ça serait bien si cette eveil de conscience occidentale pouvait durer aussi aprés la fin de la crise miss monde..
" LE LION QUI FAIT DODO - Être journaliste permanent à Fermont, c'est un peu comme être chrétien dans une fosse où un lion fait dodo. Tant que tu parles bas et que tu marches sur la pointe des pieds, ça va... Pour vous expliquer la situation, la mine et la ville font vivre l'hebdo local et la radio plus ou moins directement, plus ou moins exclusivement, fait que tu ne peux pas parler de la ville, et tu ne peux pas parler de la mine. Par contre, tu peux parler de la culture de la betterave en Ouzbékistan. C'est toujours bien ça."
Finalement le nouveau Olivier Six est tout aussi bon que le premier..ou peut-etre que tout simplement je suis devenue accro moi aussi, sur un plan visiblement tout à fait opposé il y a aussi window in lebanon , le bloggeur parle du Liban, de la propagande en tous genres (c'est sa spécialité), à découvrir..
Sing to the tune of "If You're Happy And You Know It, Clap Your Hands"
Hier je vous parlais de cette pauvresse qui squatte dans mon blogue, parlant de tout et n'impore quoi, prenant la diretion du nord si ça lui chante (quand tout le monde est dirigé sud), je crois que j'ai été un peu severe avec elle, il faut me comprendre, le fainéant n'arrete pas de m faire des miséres(c'est ou lui ou moi sur cette terre), je vais peut-etre le remplacer par un chat de gouttière..en tout cas, quelque chose me dit que si Terence Stamp decidait de faire un disque, il serait surement interessant..
Je sais que je ne vais pas me faire que des amis avec ce que je vais ecrire, mais je trouve l'album d'Henri Salvador assommant, et il est pathétique dans sa tentative d'avoir la classe style "french crooner"..
Grace à une aide providentielle, je viens de découvrir ça et maintenant j'ai vraiment honte de mon blog..de toute façon, il faut que je vous l'avoue, ce n'est pas moi qui ecrie ici, mais juste une espece d'illuminée qui n'a pas eu beaucoup l'occasion de s'exprimer ces dernières années, et qui profite de l'hospitalité si discrete et genereuse du blog pour s'agiter elle aussi dans son bocal. J'ai accépté de l'heberger parce qu'elle m'avait fait son numero de la misere des femmes arabes, si opprimées, si réduites au silence, et que personne n'ecoute, alors je me suis dit, pourquoi pas? chaque voix compte dans l'univers, si j'avais su..
Voici:(les rumeurs des blogs..)
Tout un monde qui s'ecroule..
Besoin d'amour.
Poème
Les hommes, quand ils disent oui, ils regrettent toujours de ne pas avoir dit non, et quand ils disent non, ils regrettent toujours dene pas avoir dit oui, bien sur, y en a qui disent toujours non, mais ceux là, il leur arrive aussi parfois de regretter de pas avoir dit oui.
Je suis une fille exceptionelle. C'est comme ça, meme si ce n'est pas du gout de tout le monde. J'en vois déjà qui froncent le sourcil et meurent d'envie de me rabattre mon caquet. C'est completement inutile, puisque les faits sont là. Mon execption, je ne la dois ni à mon intelligence, ni à l'impertinence de mon esprit, et encore moins à la noblesse de mon caractére. Non. Elle vient tout simplement du fait qu'en ce moment, je n'ai rien à revendiquer à personne. Pour le moment l'injustice du monde m'a plutot épargné, celles des hommes ne me fait pas peur, celle du destin, en bonne fataliste bien rodée, je m'y suis faite. Vive l'humilité et la résignation. La révolte, la colére, l'ambition, posent plus de problemes qu'ils n'en resolvent, et au final, le bilan de toute révolution est toujours catastrophique. Bon, j'arrete là mon délire, avant de perdre les rares lecteurs qui se penchent encore sur ce blog que personellement je qualifierais de franchement debile et inutile, et j'en viens au but caché de ce post, et sans tourner encore et encore autour du pot, je vais te le réecrire:" je suis de ton coté, et il y aurra toujours des jours meilleurs..confiance.. et bisoux.."
Pas de télé..je ne sais pas ce qui se passe dans le monde en ce moment... Avec ce ciel gris et ce vent furieux, je n'ai qu'à m'imaginer en pleine mer. Sur la terre ferme, les nouvelles doivent etre bonnes, le bien va bientot vaincre le mal, la musique bat son plein, et puis il ya surement un nouveau Borges ou un nouveau Marcel Aymé qui fait ses premiers pas..sans oublier mon courrier qui doit deborder, et tous ces gens impatients de me revoir..j'ai une bonne nouvelle pour eux: je refait surface..
C'est quand la cause n'arrive plus a atteindre le public, quand les discours deviennent ennuyeux et rabaches, que les engages les plus enflammes du depart commence a douter de l'interet de leur combat, et que les traitres retournent leurs vestes pour rejoindre le nouveau camp a la mode, c'est a ce moment la que la vraie lutte commence, car l'injustice , elle, ne se fatigue jamais, ne renonce jamais, et bien souvent, le temps et l'oubli sont en sa faveur.
D'habitude, un adulte responsable prend ses décisions tout seul, mais dans mon cas, on est plusieurs: il y a moi, ma religion, ma famille, la société, et biens sur toutes ces petites peurs tenaces que je traine depuis l'enfance, et qui ont vite fait de se transformer en superstitions bidons. Des fois, on est tous d'accord, et mon destin ne traine pas, et puis d'autresnc'est une vraie pagaille, une cacophonie impossible, et je suis obligée de faire le juge.. et c'est fatiguant..
Fatiguée..mais vraiment fatiguée..et en plus je suis meme pas sure que ça ira mieux demain..ce qui serait bien, c'est de me trouver une bonne carapace, ou je pourrai me réfugier les jours ou le temps devient menaçant, on ne verra que ma tete, si je veux..
Ma routine:
La phrase du jour:
Moi aussi je pose une enigme:
L'éternité+un jour:
Un joli bijou..
Woin!!
Mais que fait la police?
Les soldes:
Laissez la culture vous surprendre..
Encore un magazin? mais ils sont givrés dans ce bled! déjà que je vois partout les signes avant-courreurs de ce truc qui s'apelle Noel( tout est en rouge ou doré et les gens achetent frenetiquement des cadeaux..), mais ça ne leur suffit pas..
Rendez-vous:
Où?» demanda le soldat. «À Qalqiliya, à l'hôpital,» dit le Palestinien. «Pour quoi faire?», demanda le soldat. «Ma femme est en train d'accoucher», dit le Palestinien. «Garçon ou fille?», demanda le soldat. «Une fille». « Fille. Ok, vas-y.» Ce dialogue absurde s'est déroulé samedi dernier près du check-point à l'entrée de Qalqiliya. Pourquoi un soldat devrait-il poser des questions sur le sexe du bébé? Aucune raison. Pourquoi un Palestinien qui désire aller de son village à une ville toute proche devrait-il être interrogé sur le but de son déplacement? Simplement pour prouver à quel point le pouvoir est illimité dans les mains du soldat, qui peut décider du sort de n'importe quel Palestinien qu'il rencontre. Pour connaitre la suite ..
Pierre Desproges: (extrait de scene)
J'ai trouve ca toute seule:
Face a l'islamisme modere, il faut creer un anti-islamisme modere, c'est paru dans la caricature du journal le monde d'aujourd'hui, rien n'est plus vrai..je suis etonnee par la maladresse avec laquelle le sujet de l'islam a etet traite durant l'annee precedente. Certains magazines(tres serieux d'ailleurs..) ne conseillaient ni plus ni moins, que de changer l'islam, ou de changer carrement de religion..il y a un probleme: le terorrisme(je n'ai pas besoin de rajouter islamiste, c'est tellement facile a deviner..), et il faut le resoudre. Comment? c'est tres simple d'apres eux ( les bavards qui n'ont pas arrete depuis le 9,11), il faut faire des reformes sur la religion islamique, qui expliquerait aux jeunes ecerveles du monde arabe et musulman en general, que si ca va mal pour eux, ce n'est pas une raison pour aller taper sur l'occident..ca a l'air tres simple, en effet..trop simple..
Souvenirs..Souvenirs..
La Trame.
Pour le ramadan:
Qu'est ce qu'il est moche le type qui fait la dernière campagne de pub pour Calvin Klein..(il est encore plus moche que Stefano accorsi.)
Quelques grammes de finesse dans un monde de brutes..
Eureka:
Le Miroir brisé de Jacques PRÉVERT
Ce n'est pas toujours une bonne idée de fouiller dans le grenier de sa mémoire..non ce n'est pas une bonne idée..
je suis en train de revoir la bande annonce du "Parrain",je me rapelle la première fois que j'ai vu ce film, c'était un dimanche aprés-midi sur la Tv marocaine, il y a bien longtemps, à l'époque j'étais habituée aux torrents de larmes que deversaient sur nous les soap-operas egyptiennes, soudain je découvrais une nouvelle langue, un nouveau monde, une mythologie moderne, je decouvrais la beauté du cinema en brut, la scéne qui m'a le plus marquée, c'est bien sur celle du bateau, quand les nouveaux immigrés contemplent la statue de la liberté, j'ai revu le parrain bien des fois depuis, dans l'espoir de retrouver cette etat de choc dans lequel j'étais ce jour la, maintenant je le trouve toujours beau, parfois un peu folklorique, et il n'y rien qui m'enerve autant que lorsque un prétentieux veut faire un film qui lui ressemble, mais ce qui est bien, c'est que j'ai attrapé cette maladie ce jour la, à chaque fois que les lumières s'etaignent, que le grand ecran s'allume, je me dis que peut-etre que cette fois ci aussi..