lundi, décembre 30, 2002

Ceux qui m'aiment prendront le train..
Maxence aime cet enfer pierreux, cette immensité nue fréquentée seulement des gazelles et des lézards, impropre à la vie humaine, cette terre si misérable, si déshéritée, si laide, que l'on oublie ces tristes cailloutis pour habiter le ciel, ses nuages pourpres, ses profondeurs d'aigue-marine ou l'ardeur flamboyante de son azur décoloré.
Théodore monod. ("Maxence au désert").